Vendredi 3 novembre
14h30 / un film précédé du spectacle ENGLOUTI ! par la compagnie HEL
ENGLOUTI ! par la compagnie HEL
Méguy performeuse marionnettiste et Jeanne régisseuse lumière, embarquent les enfants dans une poésie du quotidien, à partir d’un conte initiatique sur l’environnement, avec danse, marionnettes et lumière. Ce spectacle permet d’ouvrir un dialogue et de générer des réflexions entre générations.
Merci à Méguy et à Jeanne qui ont su captiver l’attention de nos jeunes spectateurs.
Présenté par
Nicole Carrillo Gaillard
(Version Originale)
Le spectacle en images.
21h00 / Soirée d’ouverture
Il Boemo
Projection en présence de Pejman Memarzadeh, parrain du Festival.
Quelques photos de cette belle soirée !
Pejman Memarzadeh (parrain du festival)
Mireille Martin-Auger (Présidente de Version Originale)
Xavier Paris (1er adjoint à la mairie de Gujan-Mestras)
Julien Bourges (Artec) Mireille Martin-Auger (V.O.) et Xavier Paris (1er Adjoint)
Pejman Memarzadeh déclare le 13ème Festival de Version Originale ouvert.
Xavier Paris(1er adjoint) et Julien Bourges (Société Artec)
Samedi 4 novembre
3 films
14h30
Le Panthéon de la joie
de Jean Odoutan (1h37)
◄◄Dans un quartier moribond de Ouidah, au Bénin, quatre enfants placés ou orphelins dansent dans les rues et chantent leurs rêves d’une vie meilleure. Ils seront riches et célèbres à Paris…
Présenté par
◄◄Michèle Escarpit
(Version Originale)
17h00 (1er film)
La nuit du verre d’eau
(en présence du réalisateur)
de Carlos Chahine (1h26)
►►Liban, été 1958. Trois sœurs de la bonne société chrétienne sont en villégiature dans la montagne libanaise. Arrivent les échos d’une révolution grondant à Beyrouth et deux estivants français. Mais le bouleversement viendra de Layla, qui ouvrira les yeux sur la société patriarcale et son contrôle.
Présenté par
◄◄Anne-Marie Desmaison (Version Originale)
Salle pleine pour La nuit du verre d’eau en compagnie de Carlos Chahine. Un bel échange avec des spectateurs attentifs et visiblement touchés par le film.
21h00
Les filles vont bien (1er film et AVP)
(en présence de la comédienne Helena Ezquerro)
de Itsaso Arana (1h25)
►►C’est l’été. Un groupe de jeunes femmes se réunit dans une maison à la campagne pour répéter une pièce de théâtre. Elles échangent sur l’amitié, le métier d’actrice, l’amour, le désir, la maternité, l’abandon et la mort. Un conte d’été avec des princesses pas tellement en détresse.
Présenté par
◄◄Daniel Desmaison
(Version Originale)
En présence
de le comédienne Helena Ezquerro
Après avoir étudié les langues modernes et leurs littératures à l’Université Complutense de Madrid, Helena Ezquerro suit des cours de théâtre avec Sílvia Sáenz García et Lorena Bayonas et joue dans leurs propres pièces. Le petit écran la connaît bien, mais « Las chicas están bién » lui permet d’entamer une nouvelle carrière cinématographique.
Dimanche 5 novembre
4 films
10h00
Portrait de famille
de Morteza Ahadi Sarkani, Mohammad Ali Soleymanzadeh, Mahin Javaherian (0h42)
►►Un programme de 5 histoires pour célébrer la vie, la fête, la famille… en musique !
Présenté par
◄◄Michèle Escarpit
(Version Originale)
Présenté par
►►Anne-Marie Desmaison
(Version Originale)
14h30 (1er film et AVP)
Si seulement je pouvais hiberner
de Zoljargal Purevdash (1h38)
►►Ulzii, adolescent d’un quartier défavorisé d’Oulan-Bator, est déterminé à gagner un concours de sciences pour obtenir une bourse d’étude. Sa mère trouve un emploi à la campagne les abandonnant, lui, son frère et sa sœur, en dépit de la dureté de l’hiver. Comment vivre et réaliser son rêve ?
17h00 (AVP)
Perfect days
de Wim Wenders (2h03)
◄◄Jour après jour, Hirayama nettoie les toilettes de Tokyo. Un travail invisible et méprisé, dont il tire une satisfaction solaire. Pourquoi ?
Salle comble pour PERFECT DAYS de Wim Wenders ! Merci public du Cinéma Gérard Philipe, vous êtes formidable !
Présenté par
◄◄Mireille Martin-Auger
(Version Originale)
21h00 (1er film)
Les Meutes
de Kamal Lazraq (1h34)
►►Dans les faubourgs populaires de Casablanca, chargés d’effectuer un kidnapping, deux petits trafiquants, un père et son fils, se retrouvent embarqués dans la nuit la plus longue de leur vie…
Présenté par
Cyrille Carrère
en présence de Frédéric Mercier (critique de cinéma)
L’analyse du film de Kamel Lazraq, par Frédéric Mercier (à droite sur la photo), à enrichi le débat de ce soir. Pour conclure la séance, notre chroniqueur déclare : « “Les Meutes” est un roman picaresque dans lequel, l’ordre des choses nous échappe. ». Pour en savoir plus, allez-voir ce film qui a obtenu le Prix du Jury Un certain Regard au Festival de Cannes 2023.
Lundi 6 novembre
3 films
14h30
Tampopo
de Jûzô Itami (1h53)
►►Tampopo tient un restaurant dans un quartier populaire de Tokyo. Elle n’a jamais appris à cuisiner et, malgré tous ses efforts, rate régulièrement ses plats. Tout change le jour où Goro, routier à la dégaine de cow-boy, pousse la porte de son restaurant…
Présenté par
◄◄Daniel Desmaison
(Version Originale)
17h00
La conférence
(Die Wannseekonferenz)
de Matti Geschonneck (1h48)
►►20 janvier 1942, des dignitaires du IIIe Reich, représentants de la Waffen SS, du Parti, fonctionnaires, émissaires des provinces, conviés à Wannsee par Reinhard Heydrich à une mystérieuse conférence, devront trouver un accord avant midi pour résoudre la question juive en Europe.
En présence de
Mathieu Lericq
(chercheur en études cinématographiques)
« c’est un film sur le fonctionnement d’un régime totalitaire , avec une grande analyse de la structure du pouvoir qui banalise le mal . »
21h00
The Wastetown
(Shahre Khamoush)
de Ahmad Bahrami (1h30)
►►Après avoir passé dix années en prison accusée du meurtre de son époux, une mère se met à la recherche du fils qu’on lui a enlevé durant sa détention.
Présenté par
◄◄Mireille Martin-Auger
(Version Originale)
Mardi 7 novembre
3 films
14h30 (1er film)
Sept hivers à Téhéran
(Sieben Winter in Teheran)
de Steffi Niederzoll (1h37)
◄◄Téhéran, 2007. Coupable d’avoir poignardé et tué l’homme qui tentait de la violer, une jeune Iranienne est condamnée à mort pour assassinat.
A ce jour, Shole mère de Reyhaneh est devenue une importante figure du combat pour les droits humains et contre la peine de mort en Iran. En 2017, elle a quitté l’Iran avec sa plus jeune fille, Shahrzad, alors qu’elle risquait la prison pour avoir dénoncé publiquement la peine de mort. Depuis, elle vit en Allemagne.
Présenté par
◄◄Nicole Carrillo Gaillard
(Version Originale)
« Une secousse émotionnelle et politique » Première par Estelle Aubin
17h00
La Sirène
de Sepideh Farsi (1h41)
►►1980, Abadan capitale pétrolière de l’Iran résiste au siège irakien. Omid, 14 ans, a décidé de rester dans la ville avec son grand-père en attendant le retour du front de son grand frère. Il découvre un bateau abandonné dans le port. Aurait-il trouvé le moyen de sauver ceux qu’il aime ?
Présenté par
◄◄Daniel Desmaison
(Version Originale)
En présence de
Xaven Najjar
(réalisateur, graphiste et illustrateur)
Le graphisme extraordinaire de La Sirène, c’est lui. Il est venu ce soir pour nous parler du film et de son travail de création des personnages, des couleurs… Captivant !
21h00
Main basse sur la ville
de Francesco Rosi (1h41)
►►Naples, début des années 1960. À l’approche des élections municipales, un chantier de démolition provoque l’effondrement meurtrier d’un immeuble mitoyen. Tandis que l’enquête sur l’accident s’enlise, les stratégies électorales s’affinent…
Présenté par
◄◄Michèle Escarpit (Version Originale)
en présence de Jean-Fabrice Janaudy (distributeur et exploitant)
Un monde d’hommes insatiables, pour lesquels la vie n’est que recherche de pouvoir et d’argent, la démocratie une vache à lait intarissable. Et comme Rosi, en plus de tous ses talents, est un extraordinaire directeur d’acteurs, les comédiens – professionnels et amateurs – qui incarnent ces hommes-là, portraiturés sans complaisance, sont formidables de véracité, jusqu’au plus petit rôle. aVoiraLire
Tous les soirs
Popote et Papote assure la restauration des cinéphiles avec ses menus en Version Originale.
Ce mardi soir, il faisait humide et venteux à Gujan-Mestras. Un Risotto aux champignons et une Panna cotta vanille ont permis de visionner le dernier film de la journée dans de bonnes conditions.
Mercredi 8 novembre
3 films
14h30 (AVP)
Sirocco et le royaume des courants d’air
de Benoît Chieux (1h15)
►►Juliette et Carmen, deux sœurs intrépides de 4 et 8 ans, découvrent un passage secret vers Le Royaume des Courants d’Air, leur livre favori. Transformées en chats et séparées l’une de l’autre, elles devront faire preuve de témérité et d’audace pour se retrouver.
Trois moments importants pour nos jeunes spectateurs !
La projection du film
Le premier vote.
Le goûter bien mérité !
17h00
Dancing Pina
de Florian Heinzen-Ziob (1h52)
►►A Dresde et à l’École des Sables à Dakar, de jeunes danseurs, guidés par d’anciens membres du Tanztheater de Pina Bausch, revisitent ses chorégraphies. Pour ces artistes, issus de la danse contemporaine, du hip-hop ou du ballet classique, “danser Pina”, c’est questionner ses limites, ses désirs, et métamorphoser une œuvre tout en se laissant métamorphoser par elle.
Présenté par
◄◄Mireille Martin-Auger (Version Originale)
(en présence de Claudine Colozzi, journaliste et autrice)
Journaliste en presse magazine, formatrice, elle écrit sur des sujets très variés, tout en continuant de nourrir sa curiosité inépuisable pour la danse. Elle est l’autrice d’ouvrages documentaires pour la jeunesse dont L’Encyclo de la danse (Gründ), Dans les coulisses de l’Opéra, La danse classique et Passion hip-hop (Nathan).
16h00 à 21h00
La petite librairie vagabonde
DANS LE SILLAGE DE SINDBAD
(sous le chapiteau)
Gislaine Renaudie nouvelle libraire au cœur de Larros.
21h00 (1er film et AVP)
Inchallah un fils
(Inshallah Walad)
de Amjad Al Rasheed (1h53)
►►Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.
Présenté par
◄◄Michèle Escarpit
(Version Originale)
En présence de
René Otayek
(chercheur au CNRS et chargé de cours à l’Iep de Bordeaux.)
« On a souvent peine à concevoir qu’on puisse être Arabe et féministe, voire musulmane et féministe… Dès la seconde moitié du XIXème siècle, des militantes ont bravé les interdits en nous rappelant qu’il n’y a pas de fatalité patriarcale dans les sociétés arabes et musulmanes et que les femmes ne sont pas vouées à y être soumises, voilées et recluses ».
Jeudi 9 novembre
3 films
14h30
Au cimetière de la pellicule
Entretien visio avec le réalisateur
de Thierno Souleymane Diallo (1h33)
►►Dans une Guinée où les bobines deviennent poussière et où les caméras sont recyclées en marmites, les films sont destinés à mourir. Alors comment retrouver un court-métrage vieux de 70 ans, qui serait le premier film de l’Afrique francophone et qu’on n’a jamais vu ?
Présenté par
◄◄Anne-Marie Desmaison►►
(Version Originale)
17h00
Tove
de Zaida Bergroth (1h43)
►►L’histoire mouvementée de l’artiste Tove Jansson, principalement connue pour ses Moomins, gentils petits personnages ressemblant à des hippopotames. De la bohême d’Helsinki au Paris d’après-guerre, une vie privée aussi remplie que sa vie d’artiste…
C’est l’été. Un groupe de jeunes femmes se réunit dans une maison à la campagne pour répéter une pièce de théâtre. Elles échangent sur l’amitié, le métier d’actrice, l’amour, le désir, la maternité, l’abandon et la mort. Un conte d’été avec des princesses pas tellement en détresse.
21h00 (AVP)
La fleur de Buriti
(Crowrã)
de João Salaviza et Renée Nader Messora (2h05)
►►À travers les yeux de sa fille, Patpro va parcourir trois époques de l’histoire de son peuple indigène, au cœur de la forêt brésilienne. Inlassablement persécutés, mais guidés par leurs rites ancestraux, leur amour de la nature, leur soif de liberté, les Krahô ne cessent d’inventer de nouvelles formes de résistance.
Présenté par
◄◄Nicole Carrillo Gaillard
(Version Originale)
C’est l’été. Un groupe de jeunes femmes se réunit dans une maison à la campagne pour répéter une pièce de théâtre. Elles échangent sur l’amitié, le métier d’actrice, l’amour, le désir, la maternité, l’abandon et la mort. Un conte d’été avec des princesses pas tellement en détresse.
Vendredi 10 novembre
3 films
14h30
Elle s’appelle Barbara
(A Noiva)
de Sérgio Tréfaut (1h21)
►►Barbara a suivi en Irak son époux devenu un combattant de Daech. Trois ans plus tard, elle vit dans un camp de prisonniers djihadistes. Elle est mère de deux enfants et en attend un troisième. Après l’exécution de son mari, Barbara sera jugée par les tribunaux du pays. Qu’advient-il d’elle après la guerre, l’embrigadement ?…
Présenté par
◄◄Nicole Carrillo Gaillard
(Version Originale)
Présenté par
Michèle Escarpit►►
(Version Originale)
17h00
Assaut
(Assault)
de Adilkhan Yerzhanov (1h30)
►►Les élèves d’un lycée de Karatas au Kazakhstan sont pris en otage par des inconnus armés et masqués. Apprenant que l’armée n’arrivera que dans deux jours, Tazshi, un professeur prend la décision de partir à l’assaut avec son ex-femme, un policier du village, un vétéran d’Afghanistan, un alcoolique…
21h00
Les filles d’Olfa
de Kaouther Ben Hania (1h50)
►►Olfa, est mère de 4 filles. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania sollicite des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de mettre à la lumière l’histoire d’Olfa et ses filles.
En présence de
Catherine Ruelle
(journaliste et critique de cinéma)
Catherine Ruelle a fait une grande partie de sa carrière à RFI et dans de nombreuses publications (Jeune Afrique, Afrique-Asie, Le Monde diplomatique). Dès 1980 elle s’est tournée vers l’organisation de manifestations cinématographiques, au Forum des Images ou à la Cinémathèque française.
Depuis 2010, elle anime les rencontres et les débats de plusieurs festivals (consacrés aux cinémas d’Afrique et du Maghreb) au Maroc, au Sénégal et en France.
Samedi 11 novembre – Clôture du Festival
3 films et un concert à 19h00 avec le groupe BE KIND REWIND!
14h30 (1er film)
Blue Jean
de Georgia Oakley (1h37)
►►1988, l’Angleterre de Margaret Thatcher. Jean, professeure d’éducation physique, est obligée de cacher son homosexualité, surtout depuis le vote d’une loi stigmatisant la communauté gay. C’est sans compter sur une nouvelle étudiante qui menace de révéler son secret…
Présenté par
◄◄Daniel Desmaison
(Version Originale)
Présenté par
►►Nicole Carrillo Gaillard
(Version Originale)
17h00
L’odeur du vent (Derb)
(en présence de Cédric Lépine, critique de cinéma)
de Hadi Mohaghegh (1h30)
►►Dans une maison isolée au milieu d’une plaine d’Iran, un homme vit seul avec son fils alité. Un jour, le transformateur de la maison tombe en panne. Un électricien vient pour le réparer. Une pièce manque, il part à sa recherche qui sera semée de rencontres et d’obstacles…
21h00 (AVP)
Chroniques de Téhéran
(Ayeh haye zamini)
de Ali Asgari et de Alireza Khatami (1h17)
►►Neuf visages de la vie quotidienne à Téhéran ou comment faire de l’humour avec des sujets d’une actualité brûlante ? Neuf saynètes offrent une peinture des agitations qui, désormais au grand jour, secouent la société urbaine iranienne depuis le début des soulèvements populaires.
Présenté par